Emilie Devienne: Mes Livres

Etre femme sans être mèreRobert Laffont, Paris, 2006

Auteur

Emilie Devienne

Résumé

Un nombre croissant de femmes osent affirmer et assumer leur choix de ne pas vouloir d'enfants alors que l'air du temps irait davantage dans le sens "d'un enfant à tout prix".
Qui sont ces femmes qui nous rappellent que l'on ne peut réduire le désir d'enfants à une simple question d'instinct et d'horloge biologique ? Quelles sont les raisons profondes de leur choix ?

Loin des clichés réducteurs, ce livre nous donne à voir, avec humour, des femmes qui, chaque jour, doivent affronter la pression sociale et familiale.

Thèmes

La famille

La vie professionnelle

Pour la petite histoire...

Alors là, on peut dire que c’était le cri du cœur !! Enfin, je n’aurais plus à expliquer pourquoi je n’ai pas voulu d’enfants, même si je les aime. Au fait, vous avez remarqué qu’on ne demande pas à ceux qui en font, pourquoi ils en font ? Allez, sans rancune !

Références

Année de parution: 2006

Editeur: Robert Laffont, Paris

Collection: Collection Réponses

Où commander le livre

Librairie FNAC (France)

J'en parle

RADIO, 2022-03

RADIO, 2019-01

TELEVISION, 2019-01

INTERNET, 2017-12

  • Ne pas faire d'enfants, un geste écolo ? Catastrophes écologiques, surpopulation, consommation excessive… certains couples hésitent désormais à donner la vie dans un monde à l’avenir incertain. Emilie Devienne, pionnière sur le sujet avec son ouvrage “Etre femme sans être mère” livre un éclairage sur ce sujet essentiel pour l'humanité.
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  • Slate.fr

RADIO, 2017-05

PRESSE, 2014-02

  • De plus en plus de couples ne veulent pas d'enfants ? Selon une note de l'Institut national des études démographique (Ined), publiée mercredi 12 février 2014, 6,3% des hommes et 4,3% des femmes déclarent ne pas avoir d'enfant et ne pas en vouloir. Emilie Devienne, écrivain et consultante RH, a consacré un livre à ce sujet en 2007. Elle explique les raisons qui l'ont poussé à faire ce choix.
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  • Nouvel Observateur

PRESSE, 2014-02

  • Non, elles ne veulent pas être mères, et alors ? La note de l'Institut national des études démographique (Ined), publiée mercredi 12 février 2014, sur les hommes et les femmes déclarant déclarent ne pas avoir d'enfant et ne pas en vouloir a suscité de nombreuses réactions dans la presse. Emilie Devienne intervient pour souligner qu'il faut arrêtez avec les clichés, admettre que l'on puisse être une femme sans être mère, tout en aimant les enfants !
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  • Nouvel Observateur

PRESSE, 2014-02

  • De plus en plus de couples ne veulent pas d'enfants ? Selon une note de l'Institut national des études démographique (Ined), publiée mercredi 12 février 2014, 6,3% des hommes et 4,3% des femmes déclarent ne pas avoir d'enfant et ne pas en vouloir. Emilie Devienne, écrivain et consultante RH, a consacré un livre à ce sujet en 2007. Elle explique les raisons qui l'ont poussé à faire ce choix.
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  • Nouvel Observateur

RADIO, 2012-05

TELEVISION, 2011-09

PRESSE, 2011-01

PRESSE, 2010-12

  • Les enfants, ce n’est pas obligatoire, certaines femmes font le choix de ne pas devenir mères, et n’en revendiquent pas moins une vie épanouie... Un article très documenté où Emilie Devienne donne le ton sur ce sujet de société très sensible.
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  • Le Monde

PRESSE, 2010-12

  • Les enfants,ce n’est pas obligatoire, certaines femmes font le choix de ne pas devenir mères, et n’en revendiquent pas moins une vie épanouie... Un article très documenté où Emilie Devienne donne le ton sur ce sujet de société très sensible.
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  • Le Monde

TELEVISION, 2010-11

PRESSE, 2010-11

  • QUAND FEMINITE NE RIME PAS AVEC MATERNITE, de nombreuses femmes revendiquent une vie sans enfant, mais le sujet reste tabou. Un article complet où l'ouvrage d'Emilie Devienne sur le sujet est donné en référence.
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  • 20 Minutes

PRESSE, 2009-12

  • Dans la rubrique "Vrai Vie", Emilie Devienne donne son point de vue sur les femmes qui ne veulent pas avoir d'enfant. Un article complet avec de nombreux témoignages poignants.
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  • Biba

PRESSE, 2009-05

  • Dans la rubrique "C'est aussi mon histoire...", Emilie Devienne réagit face au non-désir d'enfant d'une lectrice de Closer. "A 47 ans, je ne regrette pas de ne pas avoir été mère" dit-elle.
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  • Closer

TELEVISION, 2009-04

TELEVISION, 2009-03

PRESSE, 2009-03

  • L'auteur d'Etre femme sens être mère a elle aussi fait le choix de ne pas avoir d'enfant. Son livre, une enquête sur les motivations profondes de celles qui ont décidé de s'inscrire autrement dans la lignée humaine, balaye aussi quelques clichés.
  • Les Nouvelles Calédoniennes

INTERNET, 2008-10

  • LES HOURRAS PLEUVENT SUR L'HEXAGONE DEPUIS QUE L'ON SAIT QUE LE TAUX DE FÉCONDITÉ Y FRÔLE LES DEUX ENFANTS PAR FEMME. LES VENTRES RONDS DES PEOPLE S'AFFICHENT PLUS QUE JAMAIS EN UNE DES MAGAZINES. MAIS QU'EN PENSENT CES 10 % DE FRANÇAISES QUI N'ONT JAMAIS FAIT RIMER ACCOMPLISSEMENT AVEC MATERNITÉ ? INCOMPRISES, JUGÉES, ELLES TÉMOIGNENT.
    Elles ont dû faire leur coming out à leurs parents et à tous ceux qui posaient la question qui fâche : « Alors, toi, c'est pour quand ? » Elles ont affronté les regards d'incompréhension et les jugements d'un entourage qui les taxait volontiers d'immaturité. Elles ont parfois quitté des hommes qui ne partageaient pas leur décision. Mais qu'on ne leur parle pas d'horloge biologique ni d'âge critique ; là n'est pas la question : ces femmes ont décidé de composer leur vie sans la maternité, pour des raisons diverses et qui leur appartiennent. Leur décision est la plus personnelle qu'une femme puisse prendre, alors comment se fait-il qu'elle soit à ce point sujette à la vindicte populaire ? Car à l'heure où la France est la plus féconde d'Europe, où les F. I. V. permettent de faire naître des bébés après la ménopause, où l'on suit dans les médias les grossesses des people et des femmes politiques de l'annonce à l'accouchement, ne pas vouloir faire d'enfant est un véritable acte de dissidence.
    « TU NE SERAS JAMAIS PLEINEMENT UNE FEMME »
    « Le jour de la naissance de mon frère, j'ai dit à l'infirmière que je ne voulais pas être une maman. J'avais 3 ans », se souvient Anna, une anthropologue de 29 ans qui vit en couple depuis plus de cinq ans. « Plus tard, à la fac, quand une fille était enceinte, on me sondait : "Ça ne te fait rien, Anna ?" On m'a balancé qu'aucun homme ne voudrait de moi, que je ne serais jamais pleinement une femme. » Dominique, 49 ans, est mariée depuis vingt-quatre ans. Longtemps, elle a préféré mentir à ses proches : « Je prétextais que je ne pouvais pas avoir d'enfant car je ne supportais plus l'agressivité verbale et l'incompréhension. D'ailleurs, quand j'ai fini par dire la vérité, certains de mes amis m'ont avoué qu'ils n'auraient peut-être pas aussi bien réagi quelques années plus tôt. » Si ces femmes ont pris la même décision, elles ont pourtant des histoires et des attitudes distinctes. « Je ne me suis jamais construite en me disant qu'à 30 ans, il fallait que je redéfinisse ma vie pour faire un bébé », affirme Anna. Dominique, au contraire, s'est posé la question de la norme : « Je suis issue d'une famille catholique pratiquante. Au début, je me disais juste que je n'en voulais pas beaucoup... » Marianne, elle, a regardé la vérité en face, il y a seulement quelques mois. Aujourd'hui séparée, elle a vécu huit ans en couple : « Je repoussais sans cesse l'échéance en trouvant des excuses comme un nouveau job ou un déménagement. » Redevenue célibataire, elle s'est interrogée à nouveau : « J'avais 35 ans, l'heure des choix. Je me suis dit que j'avais une fenêtre de cinq ans devant moi et je me suis mis une pression dingue. Je me suis même inscrite sur un site de rencontres. Et puis, j'ai ouvert les yeux et je me suis rendu compte qu'à chaque fois que j'avais voulu des enfants, c'était pour répondre à une pression sociale, alors que cela ne me ressemble pas du tout. »
    « NOUS SERONS 9 MILLIARDS EN 2050 »
    Quand on taxe ces filles d'égoïsme, elles répondent : «conscience». Pour elles, les préoccupations démographiques et environnementales ne sont pas qu'un sujet alarmiste à servir à l'apéro. « Nous serons 9 milliards en 2050 et les questions d'écologie sont très importantes pour moi. Je préfère donner sa chance à un enfant pour qu'il vive mieux plutôt que d'en faire un de plus sur terre », explique Marianne, très active dans plusieurs associations. Idem pour Emilie Devienne, 47 ans. Cette coach, ancienne journaliste, a publié en 2007 Être femme sans être mère (1), dans lequel elle a recueilli des témoignages de femmes concernées, comme elle, par cette question : « Pour moi, faire un enfant, ce n'est pas acheter des vêtements chez Tartine et Chocolat, c'est construire un être qui va devenir un adulte citoyen et responsable. L'élever, c'est une haute responsabilité, le projet d'une vie. Trop de gens font des enfants sans réfléchir. » Et quand on lui rétorque qu'elle ne participe pas à l'effort national, Emilie a une réponse toute trouvée : « J'élève les filles de mon mari depuis des années, alors, que l'on ne me parle pas d'égoïsme ! » Et puis parfois, ces femmes avouent aussi que, tout simplement, elles ne se sentent pas forcément capables d'endosser la responsabilité d'être parent. Celle qui implique d'être forte, de rassurer, de protéger, de trouver des réponses. « J'estime que j'ai encore besoin de me construire en tant que personne et j'ai besoin de toute ma vie pour cela, confie Marianne. Si j'avais un enfant, j'aurais très peur de l'adolescence. De savoir comment me comporter quand il entrera dans l'âge rebelle. » Anna, elle, n'a aucun problème à affirmer que le rôle de mère ne l'intéresse pas : « Cela demande une véritable énergie et une remise en question dans lesquelles je n'ai pas envie de m'investir. » Enfin, même si cela est très peu évoqué, mettre un enfant au monde n'est pas donné. Pour les besoins de son ouvrage, Emilie Devienne a fait des recherches. « Un enfant coûte plus de 100 000 euros à ses parents jusqu'à sa majorité », estime l'auteure. Un motif non négligeable souvent mis de côté au profit de l'image idéale du ventre rond et des photos de famille.
    « J'AIME MA VIE COMME ELLE EST »
    L'autre question qui fâche et qu'on leur a si souvent posée : « Tu n'as pas peur de réaliser, quand il sera trop tard, que tu as raté quelque chose ? » « Oui, j'y ai pensé. Mais faire un enfant pour la seule raison qu'on a peur de le regretter, c'est le pire acte d'égoïsme qui existe », lance Anna. « Moi, j'y ai encore réfléchi à 40 ans, mais c'était toujours non, continue Emilie. Certaines femmes disent qu'elles veulent un enfant du fin fond de leur ventre : moi c'est du fin fond de mon ventre que je n'en veux pas ! » C'est précisément en se posant cette question que Marianne a entériné son choix : « Un soir, en sortant du bureau, je me suis dit que si je voulais un enfant, il faudrait que moi aussi, j'abandonne mon appartement parisien pour un pavillon en banlieue et un monospace. Ça m'a rendue profondément triste. J'aime ma vie comme elle est. » Faire un enfant, c'est aussi un prolongement de soi. S'assurer d'une transmission. Là encore, elles sont unanimes. « La transmission ne se joue pas par la biologie. Je trouve prétentieux de vouloir transmettre son génome, confie Anna. Je suis chercheuse et formatrice en entreprise. Pour moi et pour mon ami, qui est artiste, il existe bien d'autres façons de transmettre. » « Rien n'empêche ces femmes d'être un adulte référent auprès d'autres enfants : neveux, enfants d'amis ou par le biais du bénévolat », souligne Emilie Devienne. C'est d'ailleurs ce que fait Marianne : « La photo d'un enfant noir trône sur mon bureau. Alors évidemment, ça fait jaser les collègues... C'est un petit que je parraine par l'intermédiaire d'une association. J'irai le voir l'année prochaine en Afrique. » par Gaëlle Rolin
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  • Figaro Madame

RADIO, 2007-02

TELEVISION, 2007-02

PRESSE, 2007-02

  • A lire, l'ouvrage d'Emilie Devienne. Il en dit long sur tous les clichés qui poursuivent les femmes qui n'ont pas voulu être mère.
  • Questions de Femmes

PRESSE, 2007-02

  • Il (cet ouvrage) offre enfin une légitimité à leur choix et met le doigt sur un sujet à contre-courant qui pourrait bien être demain dans l'air du temps.
  • Psychologies

TELEVISION, 2007-01

TELEVISION, 2007-01

PRESSE, 2007-01

  • Elle a écrit pour libérer la parole des femmes, afin qu'elles s'autorisent au moins à réfléchir à ce choix et pour apporter un autre éclairage à une conviction qui l'anime depuis toujours : il ne faut pas prendre l'enfance à la légère
  • Fémina (Edition suisse)

TELEVISION

Les livres d'Emilie Devienne Les trois principales th�matiques: la famille, l'argent et le travail.

Ces animaux qui nous font du bien

Eyrolles (Paris), 2022

Truffes et Sentiments

France-Loisirs, Le Club, France, 2017

La révolution des gentils

Larousse, Paris, 2016

Truffes et Sentiments

Pygmalion (Flammarion), Paris, France, 2016

Petit dico de la gentillesse

Larousse, Paris, 2016

Truffes et Sentiments

Gallimard, Montréal, Québec, Canada, 2015

Les fiches outils du coaching

Eyrolles, Paris, 2015

Savoir s'exprimer

Eyrolles, Paris, 2012

52 bonnes raisons de prendre son temps

Fleurus - Mango (Paris), 2011

Le coaching en mouvement

Dunod, Paris, 2011

Les 50 lois des femmes qui réussissent

Editions de l'Archipel, Paris, 2011

Entreprise, mode d'emploi

Larousse, Paris, 2009

Recomposer une famille

Larousse, Paris, 2009

Mieux vivre ma vie

Larousse, Paris, 2008

Envie de Changer

Larousse, Paris, 2008

Moi et l'Argent

InterEditions, Paris, 2008

Dictionnaire des coachings

Dunod, Paris, 2007

Etre femme sans être mère

Robert Laffont, Paris, 2006

La confiance en Soi

Aubanel (Groupe la Martinière), Paris, 2004

Qui garde le Chien ? Divorcer au mieux

Le Cherche-Midi Editeur, Paris, 2002

La Bibliothèque

Editions Claude Alzieu, Grenoble, 2000